Cet été 2025, l’astrologue Indigo Selah-Jael vous livre quatre clés pour savourer chaque petit plaisir intime et de bonnes ondes.
Et si la vraie tendance de l’été 2025 n’était pas une couleur, une silhouette ou un filtre Instagram… mais un rythme ? Celui qu’on choisit soi-même, loin du vacarme, proche de soi. Une saison sans éclats tapageurs, sans mise en scène, mais pleine de petits retournements intimes. Ce n’est pas la révolution, c’est juste un doux recentrage. Jupiter entre en Cancer et ça change l’ambiance, sans faire de bruit.
L’été 2025 invite à rester chez soi (et à s’y sentir bien)
Les grandes valises peuvent rester dans le placard. Les billets d’avion hors de prix aussi. Cette année, tout pousse à ralentir. Et il ne s’agit pas d’un repli triste ou paresseux, bien au contraire. Avec Jupiter dans le signe du Cancer, c’est le cocon qui attire. Pas besoin de partir à l’autre bout du monde pour se sentir dépaysé. On déplace son regard, pas son corps. Un vieux banc au fond du jardin, une rue inconnue à deux pâtés de maisons, un brunch improvisé sur un balcon ensoleillé : voilà les nouvelles escapades.
Il y a quelque chose de presque subversif à refuser la frénésie estivale. On mise sur le proche, le local, l’intime. Pas question de s’ennuyer juste de vivre différemment. S’offrir des draps en lin, rallumer une bougie parfumée à 11h du matin, s’endormir sous un ventilateur après avoir lu trois pages. L’été 2025 donne envie de ralentir la cadence et d’écouter ce qui fait du bien au fond, pas ce qui brille au-dehors. On redécouvre qu’un week-end à moins de 100 km peut suffire à créer de vrais souvenirs. Le luxe, cette fois, c’est la simplicité.
Moins d’achats, plus de création : l’appel du fait-main
Avec cette saison placée sous le signe du recentrage, la surconsommation passe vite pour un bruit de fond. Jupiter en Cancer ne pousse pas à posséder plus, mais à faire mieux avec ce qu’on a. Créer remplace acheter. On se tourne vers le concret, le fait-main, le plaisir de fabriquer. Pas pour devenir parfait, mais pour sentir qu’on façonne quelque chose qui nous appartient vraiment.
Une bougie parfumée maison, un carnet de recettes, des bijoux bricolés un dimanche après-midi. Peu importe le niveau ou le résultat : le geste compte. Cuisiner, peindre, coudre, assembler… ça remet les pieds sur terre et les mains en mouvement. Et dans cette ambiance plus douce, l’envie d’acheter pour combler un vide disparaît presque naturellement.
L’été 2025 valorise une autre forme d’abondance. Une richesse plus discrète, mais qui dure plus longtemps. Vous pensiez avoir besoin de plus d’objets ? Vous aviez peut-être juste besoin d’un espace à vous, ou d’un projet à faire naître. Rien d’urgent, rien d’obligatoire. Juste la liberté de choisir ce que vous voulez faire de vos dix doigts.
Changer de cap, renouer avec ce qu’on a laissé derrière
Il y a parfois des étés qui servent de tremplin. Pas avec des décisions prises à la va-vite, mais avec un ressenti qui devient limpide. Une direction qui s’impose doucement. L’été 2025 pourrait bien être de ceux-là. Sous l’influence de Saturne en Bélier, certaines idées jusque-là floues se précisent. Vous aviez une envie qui traînait ? Elle remonte à la surface. Et cette fois, vous avez l’élan pour lui donner vie.
Nouveau projet, nouvelle ville, nouvelle maison. Parfois même un bébé, ou une adoption. On ne parle pas de tout révolutionner du jour au lendemain, mais d’oser ce que vous reteniez jusqu’ici. Quelque chose s’ouvre. L’énergie est propice aux démarrages, petits ou grands. L’important n’est pas l’échelle du projet, mais la sincérité qu’il porte.
Dans ce même souffle, une vague de nostalgie remonte doucement. On ressort des vêtements oubliés, on se remet à écouter ses musiques d’adolescence, on retrouve des gestes simples qu’on avait laissés de côté. Comme si revenir à soi passait aussi par ces petites madeleines sensorielles. L’été 2025 n’est pas une course au neuf : c’est une saison pour retisser du lien avec ce qu’on a aimé, ce qu’on a été, ce qu’on veut encore garder.
Il n’y a pas de grande mode qui domine, pas de destination rêvée imposée. Juste un climat astral qui suggère, avec douceur : et si vous écoutiez un peu plus ce qui vous fait du bien ? L’été 2025 ne demande rien, il propose. À vous de voir si vous êtes prêt à ralentir pour mieux avancer.
