Au cœur de l’actualité automobile, découvrez la fiabilité des modèles de voiture avec moteurs Puretech que cet expert recommande.
Une question revient souvent quand on parle de moteurs PureTech : peut-on vraiment compter sur eux ? Aujourd’hui, on plonge ensemble dans la fiabilité des modèles de voiture avec moteurs Puretech, quitte à bousculer quelques idées reçues.
Les dessous de la fiabilité des modèles de voiture avec moteurs Puretech
Le 1,2 PureTech, c’est un peu le vilain petit canard du groupe : ce bloc essence s’est fait remarquer pour sa courroie de distribution trop fragile. Plus de 220 000 rappels en France, des ateliers pris d’assaut et des conducteurs qui flairent le mauvais coup. Pourtant, tout n’est pas sombre. Dès qu’on intervient avant 80 000 km, la probabilité d’une grosse panne chute drastiquement. Le constructeur a même lancé un programme de maintenance gratuit pour rassurer ceux qui s’inquiètent.
En face, le 1,6 THP joue vraiment dans une autre catégorie. Chaîne de distribution, conception revue de fond en comble, et surtout une réputation qui tutoie celle des motorisations japonaises. Sur la route, on dépasse rarement 0,8 % de pannes graves depuis 2020. Des chiffres qui poussent à relativiser les critiques et à accepter qu’on ne parle pas d’un bloc homogène.
Les modèles à retenir en 2025
Quelques SUV et berlines sortent clairement du lot. Le DS7 Crossback en 1,6 THP 225 ch, par exemple, associe punch moteur et fiabilité à toute épreuve. L’élégance à la française n’est pas qu’un argument marketing ici : la solidité suit.
Le Peugeot 5008 II, toujours avec le 1,6 THP (180 ch), se montre étonnamment sobre pour sa taille. Idéal pour la famille pressée qui ne veut pas sacrifier le coffre. Et cerise sur le gâteau, aucun retour négatif majeur depuis plusieurs milliers de kilomètres au compteur.
Citroën n’est pas en reste : le C5 Aircross 1.6 THP combine confort feutré et entretien raisonnable. Pas mal pour qui cherche un compromis entre diesel et essence, sans prise de tête.
Entretenir pour durer et flairer la bonne affaire
On reparle souvent des moteurs, mais c’est l’entretien qui fait vraiment la différence. Inspection de la courroie tous les 20 000 km, vidange dans les règles, nettoyage des capteurs… ces petits gestes permettent de transformer un moteur capricieux en compagnon de route fidèle. Les voitures passées par le réseau officiel, où on respecte chaque préconisation, affichent quatre fois moins de pannes majeures.
Pour qui veut dénicher une bonne occasion, c’est le jackpot : les prix des PureTech ont chuté, même pour le 1,6 THP. Une 5008 ou un C5 Aircross à tarif doux, ça se repère vite. Regardez bien le carnet d’entretien : un changement de courroie à 60 000 km, c’est un indice en or. Après, restez sur vos gardes si le vendeur brade beaucoup trop le prix. Les réparations oubliées peuvent coûter cher.
À chaque étape, la fiabilité des modèles de voiture avec moteurs Puretech dépend de votre vigilance. Renseignez-vous, vérifiez les rappels pour les 1,2 PureTech, et gardez en tête que certains blocs réservent de belles surprises quand on en prend soin.
On aura beau répéter que l’essence, c’est de l’histoire ancienne, la fiabilité des modèles de voiture avec moteurs Puretech continue de faire parler d’elle. À vous de voir si vous voulez rejoindre le clan des conducteurs rassurés. Ça vaut le coup d’y jeter un œil, surtout si vous aimez rouler l’esprit tranquille.