Le 15 juin, une star d’OnlyFans s’apprête à repousser toutes les limites… et internet s’enflamme déjà de colère.
Elle fait partie de ces personnages qu’on ne peut pas ignorer, qu’on le veuille ou non. La star d’OnlyFans Bonnie Blue revient sur le devant de la scène avec une annonce qui fait grincer des dents, lever les sourcils, et, pour certains, déclencher un mélange de fascination et de malaise. Après un record déjà hallucinant, plus de 1000 partenaires en une demi-journée, elle vise encore plus grand. Et cette fois, ce n’est plus un simple défi de performance, c’est un événement organisé, planifié, public. Le genre d’idée qui alimente à la fois les conversations en ligne et les débats sur la liberté, les limites et l’épuisement de soi.
Un projet s*xuel annoncé comme une attraction publique
Tout a basculé fin mai. Sur TikTok, Bonnie Blue a lâché la bombe : elle veut « atteindre 2 000 corps ». Oui, tu as bien lu. Deux mille. Pour elle, ce n’est pas juste un chiffre, c’est un objectif réaliste, presque tranquille. Elle prévoit de se rendre accessible, attachée, dans une boîte, dans ce qu’elle appelle Bonnie Blue’s Petting Zoo. Traduction en français : « le zoo pour enfants de Bonnie Blue ». Le nom, déjà dérangeant pour certains, donne le ton.
Elle ne fait pas dans la demi-mesure. Sur son site, Bonnie Blue écrit noir sur blanc : « Attachée, bâillonnée, courbée, suppliante, vous pouvez m’avoir comme vous voulez ». Le 15 juin, elle promet 24 heures sans interruption. Pas de pause. Pas de limites. Juste elle, disponible, offerte, pour qui veut venir. Le tout est accompagné de spectacles, de scènes collectives, et d’une ambiance où tout semble permis, tant qu’on participe ou qu’on regarde.
Elle s’adresse directement à un public ciblé : « 2000 hommes mariés ou d’hommes à peine majeurs ». Et comme si ce n’était pas assez, elle ajoute une touche provocatrice en rappelant que l’événement tombe… le jour de la fête des Pères.
Entre fascination, jugement et malaise profond
Évidemment, ça n’a pas tardé à exploser sur les réseaux. Les commentaires ont afflué dès la mise en ligne. Certains gars avouent leur excitation sans filtre. D’autres s’inquiètent franchement pour elle. Une internaute, choquée, écrit : « Vous avez perdu votre âme madame ! Allez en thérapie ». Beaucoup pointent un vide émotionnel, une détresse, voire un danger physique ou psychique. Et ils ne mâchent pas leurs mots. Les mots « psychopathe » ou « déraillement total » sont revenus plusieurs fois.
Ce n’est pas la première fois que la star d’OnlyFans se retrouve au centre de la polémique. Lors de son précédent défi, celui des 1000 hommes en 12 heures, les critiques avaient déjà fusé. Mais Bonnie Blue semble s’en nourrir. Elle pousse plus loin, plus fort, avec un détachement presque clinique. Est-ce une provocation ? Une mise en scène de soi jusqu’à l’absurde ? Une forme extrême d’appropriation de son corps ? Ou une spirale de surenchère où l’image finit par dévorer la personne ? Difficile de trancher.
Certains internautes voient dans ce genre d’initiative une illustration poussée à l’extrême des tendances actuelles, où l’exhibition est devenue stratégie, et où les frontières entre performance, souffrance et désir s’effacent. Pour elle, le 15 juin, comme elle le dit, est une date symbolique. Un moment clé où elle compte franchir un cap. Pas sûr que ce soit celui auquel tout le monde pense.
Jusqu’où ira Bonnie Blue ?
On peut penser ce qu’on veut d’elle : juger, applaudir, critiquer. Mais Bonnie Blue force à poser des questions. Pas seulement sur les plateformes comme OnlyFans, ni sur le s*xe tarifé ou la liberté s*xuelle. Ce qu’elle propose met aussi en lumière une époque où tout se monétise, s’expose, se transforme en contenu. Où le corps devient une entreprise. Et où la limite, souvent, n’est plus ce qu’on ressent, mais ce que les autres sont prêts à regarder.
Elle n’est pas qu’une star d’OnlyFans, elle est aussi un miroir, un symptôme, une performance à ciel ouvert. Et que ce soit du grand art ou du grand n’importe quoi, une chose est sûre : Bonnie Blue n’a pas fini de faire parler d’elle.
Rendez-vous le 15 juin pour découvrir jusqu’où elle est vraiment prête à aller.