Youngkin inaugure un parc aquatique Kalahari Resort de 150 000 pieds carrés dans le comté de Spotsylvania

Le Kalahari Resort de Woodford ouvrira enfin ses portes, alliant luxe africain et aventure familiale dans un écrin de nature préservée.

Le Kalahari Resort s’apprête à transformer Woodford en destination phare dès novembre 2026, avec des attractions extraordinaires.

Ce chantier promet de transformer la Virginie : imaginez un parc aquatique intérieur, un hôtel élégant et un centre de congrès dernier cri, tous réunis sous un même toit. C’est ici que se dessine l’avenir, sous l’œil du gouverneur Glenn Youngkin, venu signer une poutre d’acier pour donner vie au Kalahari Resort.

La naissance du Kalahari Resort à Woodford

Au beau milieu des échafaudages, Youngkin a posé sa marque sur ce projet à 900 millions de dollars, érigé dans le comté de Spotsylvania. Les États-Unis vont bientôt voir naître ce que certains considèrent déjà comme le nouveau bijou de la côte Est. Sur l’I-95, sortie 118 à Thornburg, s’érigera bientôt un bâtiment de 150 000 pieds carrés. On y comptera 907 chambres, 34 salles de réunion et un vaste centre de congrès. Le gouverneur n’a pas mâché ses mots : la Virginie, c’est l’endroit rêvé pour investir. Il a même rappelé que depuis 2022, les entreprises ont promis 100 milliards de dollars d’investissements dans l’État. Ici, chaque coup de marteau résonne comme un appel à l’ambition, et le Kalahari Resort à Woodford trône en vitrine.

Sur le site inachevé, Youngkin a vanté la réduction du temps de traitement des permis de construire. Septante pour cent de gain moyen, c’est le chiffre qui donne le vertige. Pour un projet de cette ampleur, chaque jour gagné veut dire des millions économisés. Derrière lui, entrepreneurs et cadres écoutent, impressionnés. Un décret exécutif fraîchement signé vient graver dans le marbre ces engagements : accélérer les autorisations, coordonner les agences, éviter les blocages. L’idée ? Que tout se mette en route sans à-coups, pour que le Kalahari Resort à Woodford ouvre ses portes dès novembre 2026, à la date prévue, sans concession.

Un appel à bâtir sans attendre

On laisse rarement une telle occasion filer. Nommé d’après le désert africain, le groupe Kalahari compte déjà cinq établissements aux États-Unis. Le premier a vu le jour au Wisconsin en 2000. Le plus récent, à Round Rock au Texas, a avalé 600 milliards de dollars de budget. Celui de Spotsylvania n’est pas en reste. Youngkin, sans retenue, a glissé un sourire : « Je suis prêt à aller nager. » Sauf qu’il faudra patienter encore dix-sept mois. Le chantier avance vite, les attentes sont élevées. Les murs montent, les plans s’ajustent, et chaque pièce posée rapproche un peu plus le rêve de la réalité. Lorsque viendra le jour de l’inauguration, tous ceux qui auront parié sur la Virginie auront vu juste. Le Kalahari Resort promet de redessiner le paysage économique de la région, et pourquoi pas, d’inspirer d’autres géants à franchir le pas.

La démesure du Kalahari Resort : plus qu’un simple hôtel

Derrière ce nom, le Kalahari Resort, ce sont des ambitions déployées sur des dizaines d’hectares. Cette destination n’est pas simplement le prolongement d’une politique de développement, c’est une expérience nouvelle que la Virginie s’apprête à offrir. Avec ce projet de 900 millions de dollars, le comté de Spotsylvania espère attirer non seulement des touristes en quête de dépaysement, mais aussi des événements d’affaires, des salons, des formations… Youngkin n’a pas manqué de le dire : ce choix d’implantation en Virginie n’est pas le fruit du hasard.

La région a su démontrer, par des actes, qu’elle pouvait soutenir ce genre d’initiative. Et le Kalahari Resort à Woodford s’en fera l’écho, mois après mois, année après année, en générant des revenus, en faisant vivre le tissu économique local, en laissant des empreintes positives sur l’emploi, sur le tourisme, sur le commerce. Avec ce projet, ce sont toutes les perspectives d’un comté, d’un État, qui s’en trouvent renforcées. Youngkin lui-même a plaisanté en disant qu’il était prêt à piquer une tête, le moment venu. Un symbole chargé de sens : la politique, ce sont des actes, pas seulement des mots.

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À propos de l'auteur, Anna Chevalier

Toujours à la recherche de nouvelles inspirations, Anna se passionne pour les histoires capables d'émouvoir et de marquer les esprits. Appréciée pour sa sensibilité unique et son talent pour transmettre des émotions intenses, elle croit profondément que les récits rapprochent les gens. Lorsqu'elle n'écrit pas, Anna aime explorer des projets caritatifs, capturer des instants précieux en photographie ou exprimer sa créativité à travers la peinture.